Le 28 mars est la Journée d’alerte au diabète, un « appel d’alarme » d’une journée sur le danger du diabète et l’importance de comprendre votre risque.
La dernière chose que Marie Mathieu veut faire avant d’aller travailler, c’est de faire de l’exercice. Mais lorsque le vice-président de la documentation clinique du réseau de Hackensack Meridian Santé diagnostiqué avec le diabète l’année dernière; c’était un signal d’alarme dont elle avait besoin pour apporter des changements à son mode de vie dès que possible.
J’étais dévasté. Je suis infirmière, je devrais savoir mieux. Mais je n’avais aucun symptôme. Apparemment, il était prédiabétique depuis des années. Pour être honnête, j’étais dans le déni au début. Mais j’ai dû l’accepter rapidement et j’ai demandé comment faire baisser ces chiffres. »
Marie Mathieu
Cela signifiait des exercices quotidiens et des changements immédiats à son alimentation. Avec l’aide du Molly Diabetes Education and Management Center for Adults and Children du Hackensack University Medical Center, elle a fait passer son A1C de 9 à 6,6 !
« Ils (les membres de l’équipe du MOLLY Center) m’ont montré comment contrôler les portions et mesurer les glucides. C’est une maladie chronique qui peut entraîner de nombreuses complications, mais ce que le Molly Center m’a appris, c’est que cela peut être contrôlé. Ils sont vraiment gentils et ça ne vous met pas mal à l’aise. Ils vous rencontrent, ils vous enseignent. Il suffit de travailler beaucoup et cela porte ses fruits », a-t-il déclaré.
Le mardi 28 mars, le Hackensack University Medical Center observe fièrement la Journée américaine d’alerte au diabète.
Un « réveil » d’une journée sur le danger du diabète et l’importance de comprendre votre risque et de sensibiliser le public américain aux symptômes associés au diabète. Le CDC estime que 37,3 millions ou 11,3% de la population américaine souffre de diabète et 1 sur 5 n’a pas encore été diagnostiqué. De plus, plus d’un Américain sur trois souffre de prédiabète, mais près de 80 % ne savent même pas qu’ils en sont atteints.
Terrifiée par les complications que le diabète peut causer, Marie est un excellent exemple de quelqu’un qui prend sa santé en main. Vous n’avez pas honte de vos diagnostics. Elle en parle aux gens et constate qu’elle reçoit beaucoup de soutien en retour. Et il exhorte tous ceux qui pourraient être confrontés à un diagnostic similaire à faire de même.
« Au début, vous pouvez le nier. Mais vous devez l’admettre et comprendre que cela peut être géré. Pensez à votre santé à long terme : vous ne voulez pas devenir aveugle. Vous ne voulez pas d’insuffisance rénale. Renseignez-vous. Connaissez les conséquences et prenez-les au sérieux. » insiste Maria.
Comme Marie, beaucoup ne savent peut-être pas qu’ils sont à risque de diabète de type 2. Le centre MOLLY du centre médical de l’université de Hackensack fournit aux patients les méthodes les plus récentes et les plus efficaces de traitement et de gestion du diabète, y compris les informations, les compétences et les outils nécessaires pour mener une vie saine, productive et épanouissante.