Les caractéristiques phénotypiques paternelles, le mode de vie ne jouent pas de rôle dans la susceptibilité à la prééclampsie de leurs partenaires.

Prééclampsie- ; une affection qui survient pendant la grossesse et se caractérise par une pression artérielle élevée et des signes de lésions rénales ; Cela peut être dangereux pour la mère et le bébé. De nouvelles recherches publiées dans Acta Obstetricia et Gynecologica Scandinavica suggère que les caractéristiques parentales et le mode de vie ne jouent pas un rôle significatif dans la susceptibilité de leurs partenaires à la prééclampsie.

La cause de la prééclampsie n’est pas claire, ce qui rend les stratégies de prévention difficiles, bien que plusieurs facteurs de risque maternels aient été reconnus. Dans cette étude, les chercheurs ont examiné les données du questionnaire de 586 hommes qui avaient eu une grossesse avec prééclampsie et 660 hommes témoins qui avaient eu une grossesse sans prééclampsie. Les parents du premier groupe ont signalé plus souvent une prééclampsie lors d’une grossesse précédente, mais il n’y avait pas de différences de milieu socio-économique ou d’antécédents de santé entre les parents atteints de prééclampsie et les témoins ou leurs parents.

L’importance des facteurs génétiques paternels dans la susceptibilité de leurs partenaires à la prééclampsie a été démontrée, mais le rôle du phénotype paternel et du mode de vie est encore mal connu. Le génotype paternel et le phénotype doivent être abordés dans les études futures. »

Noora Jaatinen, MD, co-auteur, doctorante, Université de Turku, Finlande

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